Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Photographie, Art roman, Architecture, Architecture romane, Conques (Aveyron), Tympans (architecture), Conques (Aveyron) -- Église abbatiale Sainte-Foy
Abbatiale Romane du XIIème siècle dans l'Aveyron (12) : tympan polychrome. Le portail occidental de l'abbatiale Sainte-Foy est surmonté d'un tympan décrivant le Jugement dernier. Il représente le Jugement dernier, d'après l'Évangile selon Matthieu. Il comporte 124 personnages, l'ensemble est divisé en trois niveaux. Tout en haut dans les angles on peut voir deux anges sonneurs de cor, au centre trône le Christ en majesté, avec les élus à sa droite, au Paradis, et les damnés à sa gauche, en Enfer. Derrière lui les anges portent la Croix et le fer de lance évoquant la Passion. Au niveau médian le cortège des élus est en marche vers le Christ, on peut reconnaître la Vierge Marie et Saint-Pierre (personnages nimbés), qui sont suivis par les personnages ayant marqué l'histoire de l'abbaye : l'abbé Dadon (son fondateur), Charlemagne (son bienfaiteur). Dessous, Sainte Foy sous la main de Dieu, à côté des menottes des prisonniers qu'elle a libérés. De l'autre côté des anges-chevaliers repoussent les damnés essayant d'échapper à l'Enfer. On peut y voir de mauvais moines, un ivrogne pendu par les pieds. Le troisième niveau est divisé en deux parties. À gauche se trouve le Paradis présidé au centre par Abraham, à sa porte un ange fait entrer les élus. La partie droite est consacrée à l'enfer où préside Satan, et où sont châtiés les péchés capitaux : l'Orgueil, désarçonné d'un cheval, l'Avarice pendue haut et court avec sa bourse, la Médisance dont la langue est arrachée par un démon, l'Adultère représenté par une femme, poitrine dénudée, liée par le cou avec son amant. Sur le linteau on peut lire la phrase suivante : «Pécheurs, si vous ne réformez pas vos mœurs, sachez que vous subirez un jugement redoutable». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_Sainte-Foy_de_Conques
L'art topiaire (du latin "ars topiaria", l'art du paysage) consiste à tailler les arbres et arbustes de jardin dans un but décoratif pour former des haies, des massifs ou des sujets de formes très variées, géométriques, personnages, animaux, etc. Cet art, qui est né à l'époque de la Rome antique, s'apparente à la sculpture sur des végétaux vivants et s'aide parfois de formes métalliques destinées à guider la croissance des plantes et les cisailles du jardinier. De nombreuses plantes, de préférence sempervirentes, à petites feuilles et à port compact, se prêtent à cet usage, comme le laurier, le cyprès, voire le lierre, mais les plus utilisées sont assurément l'if et surtout le buis.
Photographie, Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques, Art dans la rue, Monuments commémoratifs militaires, Sofia (Bulgarie), Street art, URSS. Armée rouge, Webcomics
Bas-relief commémorant l'armée russe, détourné le 18/06/2011. De gauche à droite : joker, père noël, superman, mc donald, capitaine america, super woman. Le monument aux soldats de l'Armée soviétique, ou monument à l'Armée rouge, est un monument situé dans le centre-ville de Sofia, capitale de la Bulgarie, sur le boulevard Tsar-Osvoboditel non loin du pont aux Aigles (Orlov Most) et de l’université. Élevé en 1954, dix ans après le coup d’État du 9 septembre 1944, il est dédié à la victoire de l'Armée rouge durant la Seconde Guerre mondiale. À son sommet un soldat de l’armée soviétique trône flanqué de part et d’autre d’une femme et d’un homme bulgares. Le monument est par ailleurs composé de bas-reliefs secondaires. Le 18 juin 2011, un bas-relief du monument, composé de statues de soldats libérateurs, est entièrement détourné par un ou plusieurs street artists, recouvert de peinture de sorte qu'ils apparaissent en personnages de comics américains, dont les super-héros Superman et Captain America.
Peinture, Art médiéval, Servantes (personnages), Tacuini sanitatis - al-Muẖtār ibn al-Ḥasan ibn ʿAbdūn ibn Saʿdūn Ibn Buṭlān (10..-1066?), Auteurs arabes, Yuwānīs Ibn Buṭlān (10..-1066?), Eau chaude, Eaux de toilette, Produits de toilette, Toilette -- Accessoires
Eau chaude au Moyen Age : dans une galerie à arcades, une servante accroupie lave les jambes de sa maîtresse dont les pieds trempent dans une bassine d'eau chaude. On aperçoit le foyer par une porte ouverte. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.
Peinture, souris, Gardiens, Temps -- Mesure, Lapins, Han, Arts décoratifs (Dynasties des Qin et des Han) -- Chine (221 av. J.-C.-220), Céramique -- Chine, Edinburg -- Collections d'art, Edinburgh (GB)
Peintures sur carreaux de céramique de la dynastie Han (202 avant J-C. à 220 après J-C.). Personnages portant les tuniques chinoises Han représentent 1) la souris-gardien de minuit (de 23h à 1h du matin) et le lapin-gardien du matin (de 5h à 7h). Musée National d'Ecosse à Edinburgh.
Photographie, Carottes, Alimentation, Graffiti, Humour, Murs, Lapins, Amoureux, Arts décoratifs, Art contemporain, La Réunion, Anthropomorphes, Hominoïdes, Jace, Gouzou
Gouzou amoureux en costume de lapin, filant sur une carotte, La Réunion. Les gouzous sont de petits personnages anthropomorphes surgissant fréquemment sous la forme de collages ou plus souvent de graffitis dans l'espace urbain réunionnais. Créés et dessinés par Jace, un artiste local, depuis 1992, ils doivent leur célébrité au caractère hautement humoristique de leur insertion illicite dans l'espace environnant. Le gouzou peut également surgir de nulle part muni d'une cape tel un super-héros volant proche de Superman. Jace est graffeur, illustrateur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouzou
Photographie, Humour, Murs, Art contemporain, La Réunion, Graffitis, Anthropomorphes, Hominoïdes, Jace, Coeur -- Folklore, Gouzou
Gouzou et son amoureuse, à La Réunion. Jace est un graffiti-artist français, originaire de la ville normande, le Havre, il vit aujourd'hui à la Réunion. Il est l'auteur des gouzous, petits personnages que l'on trouve dans les rues des villes et au bord des routes. Spécialisé dans le détournement d'affiches publicitaires, il a exposé ses œuvres aux quatre coins de la Réunion et du monde à plusieurs reprises depuis 1996. Il a également publié à compte d'auteur plusieurs ouvrages où l'on retrouve sous forme de photographies le travail exécuté sur le terrain. La qualité de ses œuvres lui ont valu plusieurs publications dans différentes revues internationales. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jace
Photographie, Art contemporain, Graffitis, Personnages imaginaires, Extra-terrestres, Gasteiz (Espagne)
Graffiti d'extra-terrestre dans le quartier de Adurza à Vitoria-Gasteiz en Espagne.
Photographie, Vert, Toulouse (Haute-Garonne), Art contemporain, Graffitis, Personnages imaginaires, Extra-terrestres
"Kreaturs" de Korail : Graffitis d'extra-terrestres à Toulouse dans les halles de la cartoucherie.
Homo Urbanus par Éric Lamontagne (2005) station de la Côte-Vertu du métro de Montréal : 180 petits personnages alignés vus de dos et qui se reflètent sur le verre, en verre et acier inoxydable.
Photographie, Livres illustrés pour enfants, Dessins animés, Littérature pour la jeunesse, Sculpture, Art contemporain, Zaltbommel (Pays-Bas), Auteurs néerlandais, Personnages de dessins animés
Jip et Janneke et leur chien Takkie, par Ton Koops, 1992, à Zaltbommel (Pays-Bas). Héros créés par Anna Maria Geertruida Schmidt (1911-1995). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Annie_M.G._Schmidt.
Gravure, Art médiéval, Métaphore, Miniaturistes, Douzième siècle, Latin (langue), Philosophie, Manuscrits à enluminures, Allégories -- Dans l'art, Miniatures (enluminure des livres), Philosophie néoplatonicienne, Sept arts libéraux
Représentation de la philosophie et des arts libéraux, in "Hortus Deliciarum" de Herrad von Landsberg, aux alentours de 1180. La philosophie, figure principale, est surmontée de trois têtes identifiées comme étant l'Éthique, la Logique et la Physique. Elle tient dans la main droite une inscription où l'on peut lire "Omnis sapientia a Domino Deo est" (Toute sagesse vient du seigneur), phrase par laquelle débute le texte biblique de l'Ecclésiaste. Sept fontaines de sagesse s'en écoulent, correspondant aux allégories des sept arts libéraux : Grammaire, Rhétorique, Dialectique, Musique, Arithmétique, Géométrie et Astronomie. Dans le cercle central, se trouvent intégrés Socrate et Platon. À l'extérieur, placés au bas de l'image, quatre personnages sont en train d'écrire, chacun étant accompagné d'un oiseau noir perché sur l'épaule qui semble lui chuchoter à l'oreille. Il s'agit d'une allégorie de l'esprit mauvais qui inspire les écrits des auteurs païens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hortus_deliciarum.
Route dangereuse pour les lapins qui attendent pour traverser l'autoroute 65 devant le café de Dalesman à Gargrave, North Yoorkshire, Angleterre (Busy road for bunnies Waiting to cross the A65 outside the Dalesman Cafe in Gargrave).
Photographie, Statues équestres, Travaux au crochet, Art contemporain, Personnages historiques, Spectacles d'effets lumineux, Individu et histoire, Rodrigo Díaz de Vivar (1043-1099)
Statue du Cid (Rodrigo Díaz de Vivar, 1043-1099) recouverte au crochet par l'artiste américaine Agatha Oleksiak.
Peinture, Moissons, Mois, Art médiéval, Façons culturales, Chiens de chasse, Fauconnerie, Faucons, Manuscrits à enluminures, France -- Moeurs et coutumes (1328-1600), Très riches heures du duc de Berry, Travaux des champs, Août, Étampes (Essonne), Juine (France. - cours d'eau)
Le mois d'août des Très Riches Heures du Duc de Berry. Au premier plan, figure une scène de fauconnerie : le cortège à cheval part pour la chasse, précédé d'un fauconnier. Celui-ci tient dans la main droite le long bâton qui lui permettra de battre arbres et buissons pour faire s'envoler le gibier. Il porte deux oiseaux au poing et, à la ceinture, un leurre en forme d'oiseau que l'on garnissait de viande pour inciter les faucons à revenir. Le cortège est accompagné de chiens destinés à lever le gibier ou à rapporter celui qui aura été abattu. Sur leur cheval, trois personnages portent un oiseau, sans doute un épervier ou un faucon émerillon. Au second plan sont représentés les travaux agricoles du mois d'août. Un paysan fauche le champ, un deuxième réunit les épis en gerbes alors qu'un troisième les charge sur une charrette tirée par deux chevaux. À proximité, d'autres personnages se baignent dans une rivière — peut-être la Juine — ou se sèchent au soleil. À l'arrière-plan se dresse le château d'Étampes, que le duc de Berry avait acquis en 1400, à la mort de Louis d'Évreux, comte d'Étampes. Derrière les remparts, on distingue le donjon quadrangulaire et la tour Guinette, qui existe toujours.
Épouvantails, Peinture, Mois, Art médiéval, Paris (France) -- Palais du Louvre, Façons culturales, Manuscrits à enluminures, Herses, Semailles, France -- Moeurs et coutumes (1328-1600), Très riches heures du duc de Berry, Travaux des champs, Octobre
Le mois d'octobre dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : la scène paysanne du premier plan représente les semailles. À droite, un homme sème à la volée. Des pies et des corneilles picorent les graines qui viennent d'être semées, à proximité d'un sac blanc et d'une gibecière. Derrière, un épouvantail en forme d'archer et des fils tendus, sur lesquels sont accrochés des plumes, sont destinés à éloigner les oiseaux. À gauche, un paysan à cheval passe la herse sur laquelle est posée une pierre qui permet aux dents de pénétrer plus profondément dans la terre. Il recouvre ainsi les grains qui viennent d'être semés. À l'arrière-plan, le peintre a représenté le Palais du Louvre. Du château au centre, on distingue, outre le donjon central qui accueillait alors le trésor royal, la façade orientale à droite, encadrée par la tour de la Taillerie et la tour de la Chapelle, et à gauche la façade méridionale, avec ses deux tours jumelées au centre. L'ensemble est entouré d'une enceinte ponctuée de trois tours et de deux bretèches, visibles ici. Sur la rive, des personnages conversent ou se promènent.
Peinture, Moissons, Art médiéval, Poitiers (Vienne), Tonte des moutons, Manuscrits à enluminures, Très riches heures du duc de Berry, Clain (France. - cours d'eau)
Le mois de juillet dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : les travaux du mois de juillet représentent la moisson et la tonte des moutons. Deux personnages fauchent les blés à l'aide d'un volant et d'une baguette. Un volant est une longue faucille ouverte dont le manche fait angle avec le plat de la lame. À l'aide de la baguette, ils dégagent un paquet de tiges qu'ils coupent en lançant le volant. Les moissonneurs avancent de l'extérieur de la parcelle en se dirigeant vers son centre en tournant. L'un d'entre eux porte une pierre à aiguiser à la ceinture. Deux autres personnages, dont une femme, coupent la laine des moutons à l'aide de forces. Exception faite des montagnes imaginaires, le paysage représente, au premier plan, la rivière Boivre se jetant dans le Clain, à proximité du palais comtal de Poitiers.
Peinture, Mois, Art médiéval, Façons culturales, Paris (France) -- Île de la Cité, Seine (France. - cours d'eau), Paysans, Manuscrits à enluminures, Foin -- Appareils et matériel, Fenaison -- Appareil et matériel, Juin, France -- Moeurs et coutumes (1328-1600), Très riches heures du duc de Berry, Travaux des champs
Le mois de juin dans les Très Riches Heures du Duc de Berry : illustration des travaux paysans avec une scène de fenaison. Tandis qu'au premier plan une femme râtelle du foin et qu'une autre le met en tas à l'aide d'une fourche, trois faucheurs forment des sillons au second plan à droite. D'autres personnages minuscules sont représentés dans une barque sur le fleuve, dans l'escalier menant à la poterne et dans l'escalier couvert à l'intérieur du palais. La scène se déroule en bordure de Seine, dans un champ situé à l'emplacement de l'hôtel de Nesle, résidence parisienne du duc de Berry. De l'autre côté du fleuve s'étend dans toute sa longueur le palais de la Cité, avec successivement les jardins du roi, la Salle sur l'eau, les trois tours Bonbec, d'Argent et César, puis la tour de l'Horloge. Derrière la galerie Saint-Louis au centre, les deux pignons de la Grande Salle, le Logis du roi et la tour Montgomery. À droite, la Sainte-Chapelle.
Peinture, Mois, Art médiéval, Manuscrits à enluminures, Mai, France -- Moeurs et coutumes (1328-1600), Très riches heures du duc de Berry, Cavalcades, Feuillage, Rameaux
Le mois de Mai des Très Riches Heures du duc de Berry : Ce mois est illustré par la cavalcade traditionnelle du 1er mai : des jeunes gens vont à cheval, précédés de joueurs de trompettes. Ils partent en forêt chercher des rameaux qu'ils porteront sur la tête ou autour du cou. À cette occasion, les dames arborent une longue robe verte, comme c'est ici le cas de trois d'entre elles. Plusieurs personnages portent des feuillages dans leur coiffure. Les constructions de l'arrière-plan ont donné lieu à des interprétations divergentes. Il pourrait s'agir du palais de la Cité à Paris avec le Châtelet à gauche, la Conciergerie et la tour de l'Horloge.
Peinture, Vendanges, Raisin -- Récolte, Art médiéval, Attelages de bovins, Raisin, Cuves à vin, Paniers, Saumur (Maine-et-Loire) -- Château, Mulets, Manuscrits à enluminures, Palissades, Hottes, Très riches heures du duc de Berry
Le mois de septembre dans les Très Riches Heures du duc de Berry : septembre est illustré par les vendanges. Cinq personnages cueillent du raisin tandis qu'un homme et une femme, apparemment enceinte, se reposent. Les grappes sont déposées dans des paniers qui sont ensuite vidés dans des hottes fixées sur des mulets. Ces hottes sont elles-mêmes déversées dans des cuves chargées dans des charrettes tirées par des bœufs. Le second plan est entièrement occupé par le château de Saumur en Anjou, région déjà viticole à l'époque. Les tours sont coiffées de girouettes à fleurs de lys. À ses abords, une lice (palissade) est représentée avec sa barre centrale et son mur de treillage.
Peinture, Peintres français, Dix-neuvième siècle, Pauvreté, Chemins de fer, Mères et enfants, Trains, Honoré Daumier (1808-1879), Pauvres en milieu rural
Le wagon de troisième classe, 1862, par Honoré Daumier (1808-1879). Le Wagon de troisième classe est le titre d'un tableau d'Honoré Daumier, peint en 1864, dans lequel l'artiste dénonce la pauvreté. Il appartient au Musée des beaux-arts du Canada d'Ottawa1 qui l'a acquis 1946. Cette représentation du réel est dérangeante, non pas tant par ce qui est montré, les personnages, les vêtements, ces enfants misérables, que par la force des regards. Les yeux sombres de la femme au panier, au premier plan, fixant le spectateur de l'œuvre, paraissent terriblement accusateurs et traduisent le profond désarroi qui habite ces petites gens, dans leur vie de souffrance et de misère. Avant 1956, les Chemins de fer proposaient trois classes : la deuxième classe, confortable sans le luxe de la première, accueillait les voyageurs de la petite-bourgeoisie (commerçants, fonctionnaires, rentiers etc). La troisième classe a été supprimée, face à l'élévation générale du niveau de vie. Cette disposition en trois classes (et plus) existe toujours dans de nombreux pays du monde. Pour les bateaux, elle demeure plus rare. Cette classe était principalement réservée à l'émigration à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.
Les frères Fratellini à Berlin en 1930. Les trois frères ont tourné ensemble pendant trente-et-un ans, partout en Europe pour imposer leur génie comique. Originaux et novateurs, ils adaptent pour le jeu à trois des entrées jusqu’à présent interprétées par le duo classique du clown blanc et de l’auguste. En modifiant ainsi l’action et l’intrigue des sketchs, ils redessinent les caractères des personnages, et créent un comique plus fringant.
Mosaïque inspirée par les personnages de "Space Invaders" à Pigalle. Numérotée « PA_553 », angle des 72 bis et 72 ter rue des Martyrs à Paris, France. Invader, ou Space Invader, est un artiste urbain français, né en 1969. Les mosaïques de cet artiste représentent des personnages d’un célèbre jeu vidéo édité par Taito en 1978, Space Invaders, qui devint en 1980 un des premiers jeux à très grand succès sur la console Atari 2600. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Invader_%28artiste%29.
Tableau de Hokusai datant des années 1810 représentant une scène de Nouvel An avec plusieurs personnages, dans un salon de thé japonais.
Peinture, Art médiéval, Paris (France) -- Palais du Louvre, Manuscrits à enluminures, Semailles, France -- Moeurs et coutumes (1328-1600), Très riches heures du duc de Berry
Semailles d'octobre des Très Riches Heures du Duc de Berry. À droite, un homme sème à la volée. Des pies et des corneilles picorent les graines qui viennent d'être semées, à proximité d'un sac blanc et d'une gibecière. Derrière, un épouvantail en forme d'archer et des fils tendus, sur lesquels sont accrochés des plumes, sont destinés à éloigner les oiseaux. À gauche, un paysan à cheval passe la herse sur laquelle est posée une pierre qui permet aux dents de pénétrer plus profondément dans la terre. Il recouvre ainsi les grains qui viennent d'être semés. À l'arrière-plan, le peintre a représenté le Palais du Louvre. Du château au centre, on distingue, outre le donjon central qui accueillait alors le trésor royal, la façade orientale à droite, encadrée par la tour de la Taillerie et la tour de la Chapelle, et à gauche la façade méridionale, avec ses deux tours jumelées au centre. L'ensemble est entouré d'une enceinte ponctuée de trois tours et de deux bretèches, visibles ici. Sur la rive, des personnages conversent ou se promènent.
Photographie, Fillettes, Personnages de théâtre de marionnettes, Théâtre de marionnettes allemand, Hanovre (Allemagne), Art contemporain, Kasperle (personnage fictif), Ulrike Enders (née en 1944)
Statue de la marionnette Gretel du théâtre de Kasperle à Hanovre, par Ulrike Enders (née en 1944).